BRETAGNE NORD DU 24 AVRIL AU 4 MAI

A 18 heures 45 nous quittons la cour. Il y a peu de circulation. Vers 20 heures 30 l'estomac nous informe qu'il va falloir s'arrêter. Là où l'on se trouve je me souviens avoir vu par le passé un moulin et un camping car garé à proximité. Bingo c'est bien là. Nous ferons le premier repas de nos vacances ici. Nous avons parcouru 150 km. 

Trois quart d'heure plus tard nous repartons. Le passage sur le périphérique se passe bien. Pas d'accident ni de travaux pour nous ralentir. Seule la pluie par intermittence sèmera quelques gênes.

Nous nous arrêtons à 23 heures 30 sur le parking du Val Raymond en bordure de la nationale 12, après 280 km. Un peu de repos nous fera du bien. 

5 heures 30, le réveil sonne. 7 heures nous quittons le parking pour Saint Suliac, petit village classé parmi les plus beaux villages de France. 

Nous y arrivons un peu avant midi. Un bon repas préparé à la maison nous attend.

La visite du village est sympathique et nous découvrons de belles choses. C'est un petit village dont nous ferons vite le tour.

S'il est dit quand Bretagne il fait toujours mauvais, il suffit de regarder les fleurs pour se rendre compte qu'elles sont en avance par rapport aux ardennes.

Nous quittons Saint Suliac pour Dinan, ville jumelée avec Dinant de Belgique. Nous nous rendons aisément sur le parking des campings cars, près du viaduc. Si le parking est payant il est peu honéreux. Le plan de la ville en main, nous partons à sa découverte. Nous attaquons par, si mes souvenirs sont exacts, la côte la plus raide de Bretagne. J'ai entendu cette info lors de l'émission de "Midi en France" de FR3. Les maisons sont belles. Un mélange de maisons en pierres de granit ou de pierres et de bois s'offrent à nos yeux. Nous suivons l'itinéraire indiqué sur notre plan. 

Comme de bons touristes, nous pensons à la famille et nous achetons quelques gourmandises.

De retour au camping car, nous prenons un peu de repos avant la soirée.

Lors de la visite de la cathédrale nous avons remarqué qu'un l'un des vitraux faisait état de la première guerre mondiale. Chose rare à mon avis, mais que nous reverrons.

Après une nuit avec de la pluie qui est tombée par intermittence et un goutte à goutte tombé d'un arbre sur le toit de Jolly Jumper, nous quittons Dinan et ses fortifications.

Nous prenons la direction du Cap Fréhel. Le gps nous mène sur ses petites routes pas toujours très larges. C'est là que l'on peut apprécier d'être loin de la saison touristique. 

En vue du cap, nous devons passer par un péage. Mais il est tôt et le receveur de cette taxe qui est de 4 euros, quelques soit la durée du stationnement, est absent. Nous trouvons à nous garer facilement. Une petite marche nous fait longer l'extrémité du cap. C'est de toute beauté, et en plus si il y a du vent, le soleil, pour l'instant nous accompagne.

Alors que nous sommes à l'extrémité de la pointe, il commence à pleuvoir. A l'ouest et en mer nous voyons le rideau de pluie qui arrive. Nous devons presser le pas tant il pleut. Moins de dix minutes plus tard le ciel se dégage et le soleil revient.

Nous nous rendons ensuite au fort La Latte distant de quelques kilomètres. Il s'agit d'un lieu privé et visitable. L'entrée est de 5,20 euros. C'est peut être beau et intéressant à l'intérieur, mais bon.

Nous partons pour Saint Quay Portrieux, en passant par Saint Brieux, et Binic. Nous faisons une halte au décathlon deTrégueux. Vu ce que nous avons pris en cours de route, et que ma veste de pluie prend un peu l'eau, il vaut mieux être paré à tout problème. 

En quittant le magasin, une averse de grêle très courte tombe très fort. Bizaremment tout comme les averses de pluie, le soleil revient rapidement.

A Binic, nous trouvons à nous garer près de la plage. Nous en faisons rapidement le tour. Cela semble tout petit. 

Alors que nous allons monter dans le camping car, nous sommes hélés par un monsieur, qui nous dit habiter face à la place où j'ai garé le camping car. Il me fait savoir que je ne devais pas me garer là car je gêne la lumière qui ne rentre plus chez lui. Je lui fais remarquer qu'il n'y a aucune signalisation interdisant aux campngs cars de stationner là où je me suis garé. Il réplique sur le fait que je pouvais me garer plus loin etc, etc. Il m'indique qu'il a mis un papier sur mon pare brise. Je vois immédiatement qu'il s'agit d'une photocopîe sur laquelle figure un camping car. Il ne fait aucun doute qu'il fait parti des personnes dont la présence d'un camping car leur donne des boutons. Aurait il fait la même chose avec un artisan et son fourgon. Je n'insiste pas et je monte dans le camping car pour partir. Il relève mon immatriculation.

Avant de quitter Binic nous allons vidanger et faire le plein d'eau avant de partir sur St Quay. Nous stationnons sur un parking près de l'entreprise CELTAMOR, parking référencé pour les campings cars.

Après un bon bol d'air iodé et quelques achats, nous regagnons notre maison qui roule.

Ce matin nous restons au camping car. Nous décidons de manger tôt, pour partir faire une rando dans St Quay. Rando signalée par les documents qui m'ont été envoyés par l'office de tourisme. 

Le GR 34 fait parti de l'itinéraire, il est tout proche. Nous essuierons une bonne averse mais sur les deux heures quinze de marche nous avons du bon temps même s'il ne fait pas grand soleil. 

Le sentier escarpé et sinueux nous fait découvrir à chaque instant un panorama différent. A un moment nous quittons le GR pour les rues de St Quay. Les maisons sont fleuries et belles avec ces pierres en grès.

En regardant les photos vous vous demandez pourquoi j'ai bien pu prendre en photo ce sapin. Et bien il a une chose bizarre. Il a été étêté et trois branches poussent à la verticale sur des branches horizontales. J'ai trouvé çà marrant et sortant de l'ordinaire.

Nous partons ensuite pour la commune de Plouha et plus particulièrement pour la plage de La Palus.

Sur l'aire des campings cars nous laissons Jolly Jumper pour les falaises les plus hautes de Bretagne qui culminent à 104 mètres. Pour y arriver il faut grimper dur mais la vue est magnifique en arivant en haut.

Notre balade dure une bonne heure et nous partons pour Paimpol.

A Paimpol, l'aire de service et son parking sont faciles à trouver. La chance est avec nous. Il reste une place, et encore, en dehors du parking qui nous réservé. 

Comme nous n'en avons pas assez de marcher, nous partons visiter Paimpol, le vieux Paimpol.

A notre retour, pour la première fois depuis notre départ, nous recevons la télé.

Demain matin nous partons pour Peros Guirec.

Ce matin, nous sommes matinales. Notre destination de fin de journée est Perros Guirec. Depuis Paimpol nous prenons la direction de Lanmodez par Lézardrieux. Afin de nous rendre au Sillon Talbert.

Les routes sont étroites, et les automobilistes roulent prudemment et tranquillement.

Nous n'avons pas trop de problèmes pour trouver à nous garer. Le hors saison est vraiment une bonne chose. Après cinq minutes de marche nous arrivons sur le Sillon. Ce que la nature offre à nos yeux est très beau. 

Le sillon de Talber est une langue composée de roches et de sables. Un fait géologique de la région, une curiosité. http://www.bretagne.com/fr/environnement/littoraux/sillon_de_talbert 

Nous sommes impressionnés par la multitude d'ilôts rocheux, qu'il peut y avoir.

Nous marchons un moment avant de revenir au camping car.

De retour au camping car un homme vient vers nous pour nous parler. C'est un résident permanent, un breton, et camping cariste. Nous échangeons un moment et il nous indique des lieux à voir et des endroits sympathiques où stationner.

On sait déjà qu'il ne sera pas aisé de stationner à Perros Guirec. 

Nous prenons la direction de Tréguier en passant par Pleubian, Kerbors. Nous nous arrêtons sur le port de Tréguier près d'autres campings cars pour déjeuner.

A l'issue, sur les conseils du camping cariste vu au matin, nous allons voir la cathédrale. La ville est pitoresque.

Nous remarquons une chose déjà vue à Dinan. Des vitraux qui retracent une scène de la guerre.

Nous partons ensuite pour Plougrescant. Petite commune, connue surtout par la maison élevée entre les deux gros rochers, que par le gouffre situé juste à côté. José notre voisin m'en avait parlé quand je lui ai dit que nous allions faire la côte de granite rose. Le temps se maintient depuis le matin, et c'est une bonne chose.

En arrivant près du site, nous apprécions le peu de monde sur la petite route très étroite. Une fois encore c'est magnifique. Toutes ces petites iles qui émergent de l'eau, la clarté de l'eau. Tout est magnifique.

Nous continuons en direction de Perros Guirec par Port Blanc, et Louannec.

Situé en hauteur grâce au camping car nous découvrons la côte à travers les propriétés qui longent la côte. 

A Perros Guirec, pourtant connue et grosse ville, semble t-il, il n'y a pas d'aire de service pour nous. Au port il nous est interdit d'y stationner de 19 heures à 9 heures. Et le parking qui nous autorisé est place de la France Libre. Il s'agit d'un parking très en pente et occupé par des voitures. Vu l'heure qu'il est, nous cherchons un parking.

Nous trouvons à Trégastrel une aire de service qui semble récente. L'aire est accessible par une borne escamotable. Pour 7,50 euros nous avons le parking et l'accès à l'eau notamment.

Installés nous n'attendons pas pour aller vers la mer. Nous trouvons rapidement le bord de mer et le GR 34.

Sur un plan communal  nous étudions notre balade pour demain.

Ce soir c'est fruits de mer.

Ce matin petite grâce matinée. Après tous ces kilomètres à pied hier un peu de repos ne nous fait pas de mal. Nous faisons un peu de ménage, car nous véhiculons pas mal de sable. De plus il est tant de penser logistique pour le camping car. 

Nous ne traînons pas pour manger, cet après midi nous allons faire une petite rando le long de la côte.

Le paysage, et quel beau paysage. Les rochers, leurs couleurs roses qui contraste avec le bleu du ciel et de la mer, leur masse énorme, tout est magnifique. Et oui, le ciel est bleu, le soleil est chaud. J'en ai attrapé un coup de soleil. 

A un moment nous découvrons la plage de la Grève Rose. Le talus qui domine la plage a été ravagé par les tempêtes de cet hiver. Une clôture est en partie détruite.

En regardant bien la photo d'en bas et au centre, il y a une petite crevette au milieu de la photo.

Nous revenons par le même itinéraire, plutôt que de passer par la ville.

Nous partons ensuite pourTrébeurden. Nous passerons la nuit sur une des aires de service située face à la mer.

Nous profitons de notre situation face à la mer pour attendre le couché de soleil sur la mer.

9 heures 15 nous partons pour effectuer le circuit des mégalitiques.  D'après l'agent de police municipale que nous avons vu la veille au soir lorsqu'il est venu percevoir la taxe pour la nuit, ce serait loin d'être une promenade. Il ne nous connait pas. 

Sur l'itinéraire je n'ai pu résister à immortaliser cette vue de vieilles pierres et ce superbe camélia. Marie ne fait pas partie des vieilles pierres.

Vers 13 heures nous sommes de retour au camping car. Nous ne sommes pas frais c'est un fait mais nous avons largement fait les huit kilomètres prévus à cause d'une signalétique du circuit qui n'est pas toujours bien faite. Nous avons dû chercher notre sentier à maintes reprises surtout en bordure de mer et sous un soleil de plomb.

A midi nous profitons du beau temps pour sortir le barbecue que nous apprécions après cet effort. 

La marée étant basse j'ai sorti mon rateau à crustacés que j'avais acheté à Locmariaquer, joli village du Morbihan, et nous sommes allés aux coques. 

Notre pêche a été bonne. Nous en avons trouvé entre 600 et 700 grammes. Nous aurions pu en ramasser plus mais la pluie est arrivée et nous sommes rentrés.

Ne souhaitant pas passer une seconde nuit à cet endroit nous avons chercher un autre parking sur Trébeurden, qui se prononce phonétiquement trébeurdin. 

Marie voulant voir le port nous sommes repartis à pied.

Près du port nous sommes allés jusqu'à la presqu'ile se trouvant face à l'île de Milliau. A marée basse on accède à celle-ci à pied. C'est une île où la faune et la flore sont protégées. Une chose que nous ne raterons pas la prochaine fois que nous passerons par là.

Pour retrouver Jolly Jumper nous sommes passés par un raccourci. Il nous a fallu demander deux fois notre chemin, mais les personnes ont été très aimable.

En arrvivant sur la deuxième aire de service, celle-ci ne nous plaisant pas, nous sommes allés jusqu'à Pleumeur Bodou, près du planétarium, où nous avons passé la nuit.

Si la pêche a plu à Marie, qui pour elle était la première qu'elle s'adonnait aux ramassages de coques elle s'est bien régalée.

Ce matin de bonne heure nous partons pour Paimpont, commune placée au centre de la forêt de Brocéliande. 

Nous arrivons vers 11 heures, malheureusement le beau temps de ces derniers jours n'est pas au rendez vous. 

Malgré la documentation que j'ai obtenu par courrier, nous allons jusqu'à l'office de tourisme. Là il est proposé une animation visuelle et animée par une voix qui nous fait découvrir la forêt et ses légendes.

Nous y allons en début d'après midi. Cela dur 45 minutes.

L'animation nous a transporté au pays de Merlin et de Vivianne, nous revenons au camping car sous une grosse averse de pluie. 

Nous restons enfermés dans notre maison sur roues devant le film Jappeloud. Un peu de repos ne fera pas de mal après tous ces kilomètres parcourus depuis une semaine.

Après mon petit souci de tuyau d'écoulement, je fais une petite vérification. Je me rends compte que si je ne veux pas avoir de problème sur la route du retour je suis obligé de renforcer la jonction de l'écoulement.

En quittant le dessous du camping car, un camping cariste me parle. Il s'agit d'un champagne ardennais. 

Nous nous paierons un dîner dans une crêperie où nous passons une bonne soirée.

En milieu de matinée nous quittons l'aire de service pour commencer notre visite des lieux mitiques et magiques de la forêt de Brocéliande.

Nous suivons le plan de l'office du tourisme. Nous nous arrêtons sur le premier parking situé sur le plan. Parking qui doit être face au sentier donnant accès au tombeau de Merlin. Un plan apposé sur un panneau nous informe sur la direction à prendre comme le fait un jeune couple. 

D'après un document qui nous a été fourni par une autre office de tourisme(je précise qu'elle ne fournisse pas les mêmes les documents) nous devons marcher sur un sentier où des personnes à mobilité réduite peuvent circuler. Comme apparemment il mène au tombeau nous continuons. Après, nous supposons bien avoir fait deux kilomètres à travers bois, nous arrivons à un autre parking. Il est également placé sur la gauche de la route comme celui où nous avons laissé Jolly Jumper. Nous traversons la route et environ cent mètres après nous arrivons au tombeau de Merlin.

Des fleurs des champs, des branches d'arbre sont posées sur le dessus de la grosse pierre. Nous remarquons des petits papiers placés dans une fente de la pierre. Peut être qu'il s'agit de voeux que Merlin pourrait exaucer. Près du tombeau une table en pierre est entourée par des rondins de bois qui font office de sièges.  

Nous poursuivons notre chemin vers la source de Jouvence. Beaucoup de promeneurs visitent les lieux. On ne pensait pas que cela pourrait intéressé tant de monde.

Sur le plan il est indiqué une boucle de quatre kilomètres. Comme il semble que nous en avons

fait la moitié nous continuons l'itinéraire. Nous retrouvons la route et nous sommes mis en présence d'une nombreuse signalitique. Nous mettons tout en oeuvre pour comprendre, nous repérer et trouver notre chemin. Mais nous abandonnons et nous reprenons notre chemin par l'itinéraire inverse. En cour de route nous croisons un groupe de personnes qui nous demande des renseignements sur la direction à prendre.

Nous retrouvons le camping car. Il est l'heure de manger. Face au parking qui est très en pente, Marie me fait remarquer l'entrée d'un chemin qui semble plus plat. Je mis gare et là nous remarquons la présence de deux paneaux. L'un indique la direction du chêne des Hindrés et l'autre son parking.

Le chêne est tout proche. Les arbres sont magnifiques, de toute beauté, très hauts. Certains ont leurs branches qui font penser à de nombreux bras.

Le chêne des Hindrés valait bien cette petite balade. A proximité il y a un gros tas fait de bois et de terre. Cela représente le travail des charbonniers. 

Nous partons ensuite pour le chêne de l'Abbé Guillotin. Cet arbre daté de mil an est creux et juste protègé par une simple barrière. Malgré les panneaux, des parents laissent leurs enfants pénétrer dans l'arbre symbole de tant de choses.

Ensuite direction l'arbre d'Or et l'hôtier de Viviane. Nous ne sommes pas arrivés à l'arbre que nous retrouvons le groupe de personnes qui nous avait demandé des renseignements sur le chemin à prendre. Nous échangeons rapidement quelques mots qui nous amènent à la même conclusion. La signalétique et le plan sont mal faits. L'une des personnes nous informe que les avis sur internet sont confortés par la situation dans laquelle nous nous sommes retrouvés.

L'arbre d'or est recouvert d'une très fine couche d'or. Des pierres plantées debout le protège. 

Nous montons en direction de l'hôtier de Viviane. Le chemin longe un ruisseau. Parfois il faut escalader des rochers pour  continuer notre cheminement. A un moment nous ne rencontrons plus personne mais nous continuons. A une intersection nous devons choisir la direction à prendre car pour changer il n'y a pas d'indication. Nous partons sur la droite mais notre choix n'est pas le bon. Nous rencontrons une jeune femme qui nous mènera jusqu'à l'hôtier.

Nous descendrons par l'itinéraire inverse, sans nous tromper.

Nous quittons la forêt de Brocéliande pour Pleumeur Bodou. Le parking est très calme. Nous pourrons vidanger et faire le plein demain avant de partir.

Après avoir fait le plein, nous nous rendons au super U de la commune où nous ferons quelques courses et le plein de gaz oil.

Le soleil est de la partie. Seule petite ombre au tableau des bouchons en arrivant sur Rennes nous ralentissent.

Nous nous arrêtons pour manger sur les bords de la Mayenne à Mayenne. Une fois de plus.

Mis à part une mauvaise traversée dans Nogent Le Roi nous arrivons chez ma tante un peu avant l'heure prévue.

Il y a longtemps que l'on ne s'était pas vu. Cela fait plaisirs de se revoir. La soirée sera bonne.

Neuf heures trente nous quittons ma tante et mon oncle. Il y a déjà du monde qui retourne chez eux mais la circulation reste malgré tout fluide.

Alors que nous sommes près de Laon, nous voyons la direction du lac de l'Ailette.

http://www.evasion-aisne.com/fr/Nature-et-randonnee/Vos-randonnees-preferees/Le-tour-du-lac-de-l-Ailette-CHAMOUILLE

Nous en avons souvent parlé avec Marie et là on prend la décision d'y passer afin de nous rendre compte de ce qu'il en est et peut être d'y préparer une futur sortie.

Nous mangeons sur un parking situé près du lac mais en contre bas. Le lac est en fait une retenue d'eau artificielle. Avoir sur le lien ci-dessus.

Après une petite balade, nous reprenons la route.

Nous arrivons pour 18 heures.

Séjour bien agréable......mais comme d'hab, trop court.

Nous avons parourru 1796 kilomètres.